SamBepo a écritVu tes réponses (et silences)
Mes silences ne sont dus qu’au fait que les réunions du groupe de travail ne sont pas publiques et qu’aucun membre n’a l’autorisation de divulguer publiquement (par exemple sur ce forum) ce qui s’y passe. Il n’y a aucune déduction à en faire.
SamBepo a écritDonc pour moi, seuls les commentaires qui ont été fait par des personnes qui n'ont pas compris ou pris le temps de s'informer ont été traités.
C’est exactement ce que j’ai déjà répondu. L’AFNOR a l’obligation de répondre à
tous les commentaires, même ceux peu pertinents. Il était inutile de faire attendre les personnes qui ont fait ces commentaires, alors qu’il était facile d’y répondre.
Il reste plusieurs centaines de commentaires pertinents. Vu que l’enquête publique se terminait le 9 et que la présentation avait lieu le 12, qui peut croire qu’en 2 jours on a le temps d’analyser sérieusement tout ces commentaires ? Si effectivement l’AFNOR avait prétendu y répondre, là on aurait pu lui reprocher de bâcler le travail.
L’analyse des ces commentaires auront lieu à la rentrée et les retours de l’AFNOR vers les commentateurs s’étendra probablement sur plusieurs jours.
SamBepo a écritj'ai noté que Cherry ne proposera même pas la disposition Bépo...
Je n’ai pas assisté à la présentation de l’après-midi mais à celle du matin et ce n’est pas ce qui a été dit. Cherry est une entreprise : si il y a de la demande, ils en feront ; techniquement gérer une disposition de plus ou de moins ne leur pose pas de problème. Pour Cherry c’est le marché qui décide. Il ne faut pas sous-estimer le pouvoir du client. En 2010 pour acheter un TypeMatrix, il fallait le commander directement sur le site du fabriquant. Puis il y a eu quelques vendeurs spécialisé en France. Et maintenant on le trouve sur le site de la FNAC. Cela peut être pareil avec le bépo chez Cherry.
SamBepo a écritPar ailleurs, je suis surpris de voir la couverture médiatique au strict minimum: aucun journaliste n'a procédé à une analyse critique de ce qui était proposé. Vous en avez rencontré des journalistes qui s'intéressent vraiment au sujet?
Oui, quelques uns. Une analyse critique demande du temps, de se mettre au bépo pendant plusieurs semaines. Clairement ils ne vont pas s’investir autant pour UN article, leur rédacteur en chef s’y opposerait.