nemolivier a écrit
Lorsque ma mère a appris la dactylo (sur de grosses machines à écrire), on faisait mettre un torchon sur les mains pour les masquer, elles et les touches…
oui j'ai lu ça aussi dans les manuels :
je m'imagine bien au travail avec un «nicab» sur le clavier. LOL
et avec le bépo : je ne peut même pas lever le voile «pour tricher»
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J'ai trouvé un peu de litérature :
http://www.worldlingo.com/ma/enwiki/fr/Typewriter
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et sur les site de consultation on y trouve de nombreux brevets
j'ai trouvé celui du maltron sur un catalogue en ligne de brevets américains
http://sistem.gemtech.fr/brevet/Isou_ba1.htm
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en cherchant : interface homme machine on y trouve de nombreuses choses
notement les claviers chord
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il est également intéressant de comparer les différentes vitesses (de mémoire)
6 et dernier - écriture manuelle : 30 mots /minutes
5eme et avant dernier -
écriture mécanique : 60 à 150 mots /minutes
4eme - écriture manuelle sténo : 100 à 150 mots / minutes
3eme - écriture sténo mécanique : 150 à 250 mots /minutes (sténotypie, vélotypie, veyotype)
2nd - parlé : 150 mots à 300mots/min (220 vitesse normale)
1er - lecture : 250 à 2000 mots /minutes (en sub-vocalisation ou lecture rapide)
il me semble à la lecture de ses résultats que l'écriture mécanique n'est pas conçue pour la saisie d'un flux verbale. Les résultats de l'écriture au clavier sont insuffisants : ça va deux fois moins vite que la parole.
Il semblerait donc que l'invention de l'écriture mécanique n'est qu'un moyen de d'avoir une
imprimerie de petite taille avec duplication carbone pour les contrats. La vitesse semble une problématique accessoire lié à faire diminuer la charge salariale.
(pour preuve de nombreuses inventions de machines à écriture mécanique avec sélecteur de caractère sur une roue, comme les anciennes dimo. Apparement la rapidité n'était pas une vrai préocupation…)
En conséquence de quoi : si la vitesse n'est pas l'objectif n°1 l'on est en droit de se poser la question de l'agencement du clavier et pourquoi l'on n'a pas + de clavier en ordre alphabétique au XXIeme siecle.
Les touches en quinconce sont eux aussi une abération, La quinconce n'ayant plus aucune raison mécanique au 3eme millenaire...
Et si la vitesse devenait une priorité : l'on utiliserait des clavier multitouches avec la capacité de saisies simultané de plusieurs lettres d'une même syllabe en même temps.( avec des pouces bcp plus actifs.) La saisie couplé avec un logiciel d'analyse et de probabilité linguistique (comme la saisie prédictive T9) et de correction orthographique (pour diminuer les fautes simples) permettrait à l'instar du véyotype de reconstituer le texte saisi dans une langue donnée à une vitesse de 200 mots minutes.
L'on pourrait même espérer avec des langues concises et un peu abrégé (concise comme l'anglais et un peu abrégé sans article et qq abréviations) atteindre des vitesses proche de celle de la pensée de 300 à 400 mots minutes qu'un logiciel gramatical et syntaxique se chargerait de procéder aux corrections de mise en forme.
Tous les claviers ordibaires on besoins d'une table.
Or déjà dans l'antiquité les philosophes réfléchissaient et enseignaient en marchant.
Un clavier innovant permettrait la saisie en marchant avec une saisie en aveugle à une vitesse respectable.
Le clavier tel que l'on nous l'impose est déjà osolète : mais c'est notre quotidien d'aujourd'hui
On ajustes cotes a cotes une a une des lettres qui seront destiné à être imprimés, comme l'on ajustait des lettres de plombs du temps des imprimeries médiévales.
Dans pas si longtemps que ça, dans ce siècle, l'IA de l'ordinateur aura inéluctablement une interface de saisie-comprehension syllabique manuelle ou verbale atteignant couramment 200 à 400 mots /minutes avec copies conformes polyglottes.
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