joan a écritSur le clavier physique ça n'a pas d'intérêt surtout qu'on ne peut pas mettre des autocollants.
Bôh, et la frappe à l'aveugle ? 😃
joan a écritSur le clavier virtuel, ça peut être une question de confort, d'habitude, d'accès plus ou moins facile de certaines touches. (Par exemple sur le clavier fournit en standard sur les Windows Mobile en français, il faut taper trois touches pour faire un simple « É », là où il en faudrait deux sur un Bépo, et sans passer par la page des « symboles bizarres ».)
Effectivement, l'habitude et l'accès à certaines touches sont deux points forts. Pour ce qui est du confort, en revanche, la logique voudrait que la disposition soit axée sur le mouvement des pouces dans le cas d'un clavier physique, et du stylet dans le cas d'un clavier virtuel, non ?
joan a écritSi les constructeurs ont déployé des ressources pour fournir de l'Azerty au lieu du Qwerty, ou d'un agencement alphabétique comme sur le clavier du pavé numérique des petits téléphones, c'est que ça a un intérêt.
Je crois que l'unique intérêt c'est la force de l'habitude… Sinon quel est l'intérêt pour que les constructeurs déploient des ressources pour fournir de l'AZERTY sur les claviers « tout court » ?
joan a écritD'autre part pour dominer le monde le Bépo doit être présent partout. (Et même là où on ne l'attend pas ?) 🙂
Certes, mais le projet bépo pourrait proposer différentes dispositions adaptées aux différents supports, ce qui serait à mon avis un argument supplémentaire…