J'ai soumis ici une réponse plus développée.
Je ne comprends pas l'obstination des informaticiens à vouloir un clavier qui se veux destiné au « grand public » — dactylographie de la langue française — mais qui serait avant tout adapté à leurs usages spécifiques.
En effet, les informaticiens, qui utilisent certains caractères particuliers absents des textes en français, préfèrent voir relégués certains autres caractères qu'ils semblent être les seuls à considérer annexes mais que le « grand public » utilise car il écrit uniquement du français standard.
Or, les informaticiens sont capables de « bidouiller » leur clavier pour l'optimiser à leurs besoins personnels. D'ailleurs, celui qui code en C préférera les accolades aux chevrons simples de ceux qui pratiquent le XML !
Le grand public, lui, n'est pas capable de bidouiller son clavier. D'autre part, il n'utilise ni les chevrons simples du XML, ni les accolades du C ou du Java.
Enfin, le grand public a souvent beaucoup de difficultés à s'adapter…
En conclusion, si la conception du BÉPO donne une quelconque priorité à un usage autre que celui du grand public, ce dernier le trouvera décidément vraiment trop difficile et le rejettera — donc, même pas de « bouche-à-oreille ».